Translate

mercredi 23 octobre 2013

Managers: comment motiver ses employés.





Ce n’est un secret pour personne, le manque de bon sens est source de bien des problèmes dans le monde. Et ceci est particulièrement vrai dans le monde de l’entreprise. Pertes de temps en réunions interminables, licenciements alors que l’entreprise réalise des bénéfices, dépense d’immenses ressources humaines pour élaborer des définitions de mission vaseuses, immédiatement archivées dans des cartons poussiéreux, ou pour restructurer, réorganiser ou réengineerer tout et n’importe quoi.
Le principe de Dilbert
Dans le monde du travail, les contradictions ne se comptent plus. Pour améliorer la productivité des employés, on leur colle un contrôle qualité tous les deux jours, et on organise des réunions de quatre heures pour découvrir pourquoi la démotivation gagne les troupes.
Si quelqu’un a su témoigner de cet état de fait, c’est bien Scott Adams, le génial créateur de Dilbert, une BD dénonçant de façon hautement cynique, caustique et satirique la vie d’un employé de bureau moyen dans une grande multinationale. Si vous ne connaissez pas, je vous recommande chaudement de lire ces BDs, vous les trouverez dans toute bibliothèque qui se respecte.
Scott Adams à également écrit un livre, le principe de Dilbert, dans laquelle il analyse à sa sauce le monde de l’entreprise.
Et le plus intéressant, c’est que Scott Adams ne fait pas que critiquer. Dans le dernier chapitre de son livre, il décrit le modèle de l’entreprise parfaite selon lui : A6HD, pour À 6 Heures Dehors !

L’entreprise parfaite

Et bien, quelles sont les caractéristiques principales de cette fameuse entreprise ? Pour Scott (Oui, je l’appelle Scott tout court, parce que c’est moins long), c’est une entreprise qui sait faire la différence entre ce qui est essentiel, et ce qui ne l’est pas. Et qu’est ce qui est essentiel, dans une entreprise ? Toujours d’après Scott, deux choses : de bons produits1, et des employés efficaces.
À première vue, cette observation paraît d’une évidence désarmante. Il est d’autant plus consternant de constater qu’elle est complètement occultée par certains managers et dirigeants, qui investissent des ressources considérables pour des résultats négligeables à court terme, et parfois même pénalisants pour l’entreprise à long terme.
Pour Scott, toute tâche qui permet d’améliorer le produit ou l’efficacité des employés est une bonne chose. Toute autre tâche est futile et se traduira à long terme par une perte de profits.
Voici quelques exemples de telles activités :
  • Développer de nouvelles procédures
  • Réunir les dirigeants pour écrire une nouvelle politique d’entreprise
  • Les sytèmes de suggestions
  • Remanier le système de paiement des salariés
  • ISO-9000
  • Organiser des équipes qualités
  • Rédaction de définitions de missions et déclarations de visions
Pour Scott, même si chaque activité prise individuellement est justifiable par les meilleurs arguments du monde, au final, elle n’améliore que trés rarement l’efficacité. Et elles sont la plupart du temps inutiles si les produits sont bons, et les salariés efficaces.
Mettre en place un système de suggestion ne sert pas à grand chose quand les salariés sont motivés : ils proposeront d’eux mêmes des améliorations. Et la budgétisation est beaucoup plus simple, quand on a un bon produit qui permet de faire des bénéfices.
Le manager avisé saura donc mettre l’accessoire de côté pour se focaliser sur l’essentiel : les employés et les produits.

Une entreprise saine repose sur des salariés efficaces

L’employé est le fondement de l’entreprise. Des employés motivés et créatifs sont inestimables, et leur productivité est immense. L’essence même de la tâche du manager est donc de conserver intacte la bonne humeur des employés.
La théorie de Scott Adams repose en grande partie sur les hypothèses suivantes :
  • Les gens sont de bonne volonté par nature, et heureux par défaut.
  • Personne n’aime travailler, et il existe un niveau de bonheur maximal que l’on peut tirer de son boulot.
    Le travail est une chose fondamentalement désagréable par rapport aux autres choix possibles, et c’est la raison pour laquelle il faut le rémunérer.
    Scott Adams
Bien sûr, il y a des gens qui apprécient leur emploi. C’est même une condition importante du bonheur. Mais réfléchissez serieusement : si le travail n’était pas nécessaire pour vivre, combien conserveraient leur emploi ?
Par conséquent, l’entreprise ne peut pas faire grand chose pour améliorer le bien être de ses employés. En revanche, elle peut faire beaucoup de choses pour l’annihiler. La mission du manager consiste donc essentiellement à fournir aux employés des objectifs à atteindre, des ressources pour y parvenir, et à s’écarter du chemin.
La première mesure à prendre, pour Scott Adams, c’est de s’assurer que tout le monde puisse quitter les lieux à 18h tapantes2 . C’est un principe d’une telle importance qu’il a même donné son nom à l’entreprise : A6HD.
Si on part du principe que personne n’aime travailler, permettre aux employés de rentrer chez eux suffisamment tôt pour avoir une vie personnelle et familiale épanouissante est encore le meilleur moyen d’assurer leur satisfaction.

Revoir l’emploi du temps

Time Spiral
Crédit photo : gadl
La plupart des managers et travailleurs imaginent qu’ils pénètrent dans un monde à part, un peu hors du temps, dés qu’ils passent la porte de l’entreprise. Ils pensent que la vie professionnelle ne devrait pas influencer la vie personnelle, et vice-versa. C’est une pensée dangereuse d’une part, et fausse de toutes façons.
La vie est un tout indivisible, et la compartimenter à outrance ne pourra que générer un malaise, dont les premiers symptomes sont les fameux « Pff ! J’ai l’impression de sacrifier ma vie de famille à mon travail » et « Avec cet enfant, je vais devoir abandonner mon emploi ».
Les dirigeants feraient bien de ne pas oublier que leurs employés ont une vie de famille. Ils travaillent pour vivre, et pas l’inverse. Et il est dangereusement utopique de penser qu’un employé est une sorte de machine lobotomisée investie à 100% pour son entreprise entre 9h et 18h. Tout le monde à des soucis, et jusqu’à preuve du contraire, il n’est pas possible de les enlever comme on enlève son manteau, pour les laisser accrochés à l’entrée du bureau.
Il faut aussi savoir qu’on est productif que quelques heures par jours (et encore, pour les plus motivés). Ceux qui s’imaginent améliorer la productivité en augmentant la durée de travail ne sont rien d’autres que de doux rêveurs au manque de bon sens flagrant.
Au contraire, compresser les activités productives pour qu’elles prennent le moins de temps possible augmente leur intérêt, et rendra le salarié plus productif. Imaginez un employé qui sait qu’il ne lui reste plus grand chose à faire pour atteindre ses objectifs de la journée, et qui doit patienter encore 4h avant de pouvoir quitter les lieux. Croyez vous réellement qu’il abattra plus de travail de sa propre initiative ?
Certains besogneux le feront peut-être, mais la plupart (dont moi) ne feront qu’étaler pour « tenir » jusqu’à la quille. Au passage, ils verront leur motivation et leur intérêt fondre comme neige au soleil, et en profiteront pour surfer sur des sites de glandeurs, ou aller discuter avec leurs collègues, avec un effet boule de neige devastateur pour la productivité.
Imaginez maintenant que ce même employé sache qu’il pourra partir lorsqu’il aura atteint son objectif, quand bien même il ne serait que 16h30. Il y a fort à parier qu’il mettra la meilleure volonté du monde à abattre la besogne le plus rapidement possible.
Il faut donc cesser de faire une fixette sur l’horloge, sous prétexte que les salariés sont payés à l’heure. Un peu de souplesse ne fera pas de mal, et pourrait au contraire avoir des effets bénéfiques pour tout le monde.

Supprimer les obstacles et fournir les ressources

Il est surprenant de voir à quel point des gens motivés sont productifs, ce qui est, si je ne m’abuse, bénéfique pour l’entreprise. Un manager pourvu d’un minimum de bon sens saura donc qu’il est promordial de maintenir une ambiance de travail bon enfant, et de préserver la bonne humeur des employés.
Pour ce faire, sa tâche consistera essentiellement à débarrasser les employés des obstacles à leur travail, et à leur fournir les ressouces nécessaires pour atteindre leurs objectifs.
Si vous êtes manager, voici quelques exemples de points à considérer :
  • Assouplir les emplois du temps : Certaines personnes ont des contraintes. L’exemple le plus flagrant, c’est celui de la mère qui doit conduire ou ramener ses enfants de l’école. Au lieu de râler et de réprimander l’employé qui arrive toujours 20 minutes en retard, il sera bien plus productif de convenir avec lui d’un arrangement pour assouplir son emploi du temps. Vous l’allégerez alors d’une source de stress, et il y a fort à parier que sa reconnaissance améliorera sa loyauté et sa motivation.
  • Éliminer les sales cons ! : Dans l’entreprise, rien ne plombe plus rapidement une ambiance qu’un sale con qui pense que la diplomatie est un pays d’ex-URSS. Rien n’entrave plus la productivité des bons salariés qu’un sale con qui a érigé la mauvaise foie et la mauvaise volonté au rang d’art de vivre. Fuyez à tout prix ce genre de personne !
    Parfois, il arrive que les sales cons détiennent des compétences vitales pour l’entreprise. Ils deviennent alors indéboulonnables, et continuent d’entraver le travail des autres et de pourrir l’ambiance en toute impunité. En tant que manager, ne laissez pas passer ça !
    Même si les compétences du sale con sont intéressantes, débarrassez vous en le plus rapidement possible. Si vous faites l’erreur de le garder, vous vous en mordrez les doigts, tôt ou tard.
    Le meilleur moyen de virer les sales cons, c’est encore de ne pas les embaucher. Au lieu de vous focaliser sur le savoir-faire, prêtez tout particulièrement attention au savoir-être, et écartez systématiquement les impulsifs, ceux qui n’acceptent pas la critique, ne savent pas gérer leurs émotions, ni régler leurs problèmes par des moyens pacifiques.
  • Lâcher du lest sur l’évaluation : Il existe un phénomène psychologique intéressant qui fait que souvent, les gens se comportent de la manière dont on les traite. C’est à dire que si vous parlez à vos ados comme à des bébés, vous avez peu de chance de les voir devenir responsable.
    De même, si vous passez votre temps à surveiller vos employés pour vérifier que le travail est fait, si vous ne les traitez pas comme des gens de confiance mais comme des truands potentiels, ils réagiront en devenant effectivement moins dignes de confiance. Ils seront moins impliqués, moins loyaux, et profiteront de la moindre occasion pour glander activement.
    Mais si vous allégez les procédures d’évaluation, si vous décidez de leur faire confiance, vous les engagez à se comporter de manière responsable et à travailler serieusement.
  • Alléger les procédures : Tout le monde ne travaille pas de la même façon. Des procédures trop strictes et artificielles à propos de tout et n’importe quoi facilitent certes l’encadrement, mais entravent la productivité. Un employé qui remplit de la paperasse ne travaille pas. Réduisez les procédures au minimum, quitte à laisser un peu de place à l’informel, pour permettre à l’employé de s’attaquer à la seule tâche utile pour vous : travailler.
  • Laisser le choix des outils de travail : Si un employé effectue son travail correctement avec son propre ordinateur, ses propres techniques, ses propres méthodes, ses propres outils, pourquoi lui imposer les votres ?
    Vous ne ferez que le ralentir en lui infligeant un apprentissage dont il se serait bien passé, et vous déclencherez un phénomène psychologique appelé la résistance au changement. Tant que cela n’a pas d’influence négative sur son travail, laissez le libre d’employer les moyens qu’il veut pour atteindre ses objectifs
  • Compétences, connaissances et formation : Un job ou l’on apprend plus rien est terriblement démotivant. Chaque employé devrait apprendre une choses chaque jour, et faciliter l’accès aux nouvelles compétences sera bénéfique pour tout le monde (y compris vous).
    D’une part, chacun sera plus motivé par un job enrichissant, et d’autre part, cette ouverture encouragera la créativité.
    En tant que manager, vous devriez appuyer les demandes de formation de vos employés, même si elles sont un peu « hors sujet ». Vous pouvez également encourager le partage des connaissances entre vos employés (Scott propose même d’inclure « transfert de compétences » dans tous les intitulés de postes), et laisser en libre service des journaux et magazines spécialisés.
  • Couper court aux réunions : Les réunions interminables sont souvent citées comme la principale perte de temps dans l’entreprise. N’organisez pas de réunion si ce n’est pas nécessaire, n’y conviez personne s’il n’y est pas indispensable, et définissez un ordre du jour clair et précis, avec des crénaux horaires fixes réservés à chaque point.
    N’hésitez pas à interrompre poliment mais fermement quelqu’un qui deviserait trop longtemps sans en venir au fait. Rappelez que les échéances sont fixes, et ne peuvent être repoussées. Rappelez la récompense pour tout le monde : A5HD :)
  • Le café, les pauses, l’habillement, et autres futilités : Ne soyez pas trop strict sur les détails. Lâchez un peu de lest, et laissez chacun s’habiller comme il veut, du moment que ça ne gêne pas son travail ni celui des autres.
    Laissez une cafetière en libre service, au lieu de chercher à faire des bénéfices même sur les pauses des employés. D’ailleurs, n’oubliez pas que les pauses sont essentielles. Je me répète : cessez de faire une fixette sur l’horaire. Un employé avec un objectif précis, une échance claire, et les ressources nécessaires à sa disposition travaillera sérieusement si vous lui faites confiance et ne vous tenez pas derrière son dos pour espionner tous ses faits et gestes.
J’espère que vous aurez compris qu’en matière de management et de gestion d’entreprise, le bon sens est une compétence essentielle. Négliger son importance pourrait avoir des conséquences désastreuses pour le moral et la productivité des employés, et à long terme pour la réussite de l’entreprise. Alors, si vous êtes manager, vous savez ce qu’il vous reste à faire : lisez Dilbert ;)

    mardi 22 octobre 2013

    Comment être un bon manager dans son entreprise

    Comment être un bon Manager dans son Entreprise
    Par: lentreprise.lexpress.fr
    http://facilementvotre.blogspot.com


    Un sondage Ipsos Logica Business 2011 révélait que le trio gagnant du patron idéal serait pour les salariés français: Laurent Blanc, Bernard Tapie et Laurent Ruquier.
    Pas de doute, l'influence de la télévision est passée par là. Toutefois ces résultats sont révélateurs de l'image du patron idéal. C'est un bon manager, de préférence un leader, une personne qui a du charisme et emmène son équipe vers la réussite. Il sait aussi gérer les échecs et trouver des solutions. Il rebondit, même lorsqu'il est au fond du trou.
    Si vous ne vous reconnaissez pas dans cet être exceptionnel, vous avez certainement encore une petite marge de manoeuvre... Voici dix conseils pour améliorer votre côte auprès de vos salariés.
    1. Vous avez un look décontracté - pas besoin de cravate au bureau -, vous appelez vos salariés par leur prénom et vous les tutoyez. Bref, vous adoptez l'attitude qui plaît à la génération Y. Mais les quinquas aussi peuvent apprécier !
    2. Vous arborez toujours un léger sourire (plutôt qu'un air sombre) et vous dîtes " Bonjour " et/ou " Bonsoir " à chaque personne que vous croisez, de l'insignifiante stagiaire du mois d'août au charismatique directeur artistique. Chaque être humain qui travaille dans votre entreprise compte.
    3. Vous avez de l'humour et vous aimez faire des petites pauses de cinq minutes pour raconter une anecdote ou faire une plaisanterie en petit comité. Ce n'est jamais du temps perdu ! Vous vous mettez dans la poche quelques collaborateurs, flattés que les précieuses minutes de votre emploi du temps hyper saturé leur soient consacrées. Juste pour le fun.
    4. Le verbe manager signifie, sur le plan étymologique, conduire les affaires du ménage. Un bon manager, c'est celui qui est au service de son équipe. Et non l'inverse ! Pas question de gérer votre planning selon vos aspirations personnelles. Nous sommes dans l'ère de l'urgence. Les équipes qui gagnent sont celles qui réagissent vite. Elles ont besoin de vous à tout moment.
    5. La porte de votre bureau est ouverte au moins 50 % de votre temps et lorsqu'un collaborateur passe une tête, c'est qu'il a vraiment besoin de vous. Alors, soyez suffisamment courtois pour lever le nez de votre ordinateur et l'écouter au lieu de décrocher votre téléphone qui est, de toute façon, sur répondeur.
    6. Vous vous positionnez en leader. Vous savez mener des réunionsprendre la parole devant 200 personnes, inciter un ministre à venir visiter votre usine. Si vous faîtes tout cela avec panache, c'est encore mieux ! Vous êtes l'arbitre des décisions difficiles à prendre et vous assumez d'être parfois impopulaire.
    7. Vous n'êtes pas forcément le meilleur technicien de votre boîte. Ce n'est pas votre rôle. Mais vous savez repérer et vous entourer de talents... et les garder. Il vous faut songer aussi à un numéro 2 pour le jour où vous quitterez la boîte. Accident, vente, congé sabbatique... Il vous faut anticiper.
    8. Vous donnez de l'enthousiasme à vos collaborateurs portés par votre vision, le sens du travail à mener et votre dynamisme. A tous les niveaux de la hiérarchie - de l'ouvrier au directeur général - vos salariés connaissent la mission finale de l'entreprise et oeuvrent pour le succès collectif.
    9. Vous savez faire un compliment ; vous félicitez volontiers un cadre qui a réussi une mission. Vous savez aussi réconforter celui qui a pris une initiative intelligente, mais a échoué. Vous êtes dans l'empathie. On apprécie votre quotient intellectuel, mais c'est votre quotient émotionnel qui fait de vous un patron pour lequel on est prêt à aller au-delà de ses limites.
    10. Si les résultats sont au beau fixe, vous préférez partager une partie des bénéfices avec vos salariés - sous une forme collective et/ou individuelle - plutôt que vous achetez une nouvelle Porsche. " Donner pour recevoir " reste l'une des meilleures recettes de la réussite. L'année prochaine, vous ferez encore plus de bénéfices...


    lundi 21 octobre 2013

    Comment devenir financièrement stable.



    5 FAÇONS QUI VOUS RENDENT FINANCIEREMENT STABLE.

    http://facilementvotre.blogspot.com

    L'une des choses les plus difficiles dans la vie est de sortir du cycle de la pauvreté. La pauvreté ne signifie pas nécessairement que vous avez à souffrir de la faim ou de sans-abri dans les rues, mais il se réfère à un état où vous êtes totalement dépendant de votre travail. Qu'est-ce que l'indépendance financière? L'indépendance financière n'est pas un emploi bien rémunéré. Dans le vrai sens d'un emploi bien rémunéré signifie que vous êtes une personne bien compensée financièrement à la charge. Je vais vous donner cinq conseils sur comment vous pouvez accéder à l'indépendance financière.

    1. Faites-vous payer sans travailler 
    Pour vous, pour atteindre une véritable indépendance financière dont vous avez besoin d'une activité qui pourrait vous faire payer sans nécessairement avoir à travailler. Vous ne pouvez jamais être financièrement indépendant si votre chèque de paie dépend de la quantité de sueur que vous mettez dedans


    2. Amener d'autres personnes à travailler pour vous 
    Des ressources humaines est le plus grand moteur de développement et de progrès dans toute entreprise. L'outil le plus important que l'entreprise pourrait avoir, c'est son personnel. C'est parce que le personnel ont souvent plus de compétences et de connaissances par rapport au propriétaire ou à ses fondateurs. Une fois qu'une organisation est capable d'intégrer ses employés assez bien elle peut être en mesure de bénéficier de la connaissance que les employés apportent à l'organisation.


    3. Assurez-vous que les choses peuvent fonctionner sans vous 
    Beaucoup d'entrepreneurs et hommes d'affaires forment une attente très serré de leurs activités dans la mesure où ils décident de la façon dont tout est à faire, où et quand. C'est une grosse erreur que tout homme d'affaires doit éviter. Concentrez-vous plutôt accrue devrait être accordée sur les mécanismes d'auto régulation du risque qui feront en sorte que l'entreprise peut demeurer rentable et durable, même sans vous.


    4. Faites travailler votre argent pour vous 
    L'argent devrait générer plus d'argent sur ses propres. Au lieu de vous travailler à l'extérieur, d'investir ce que vous avez déjà afin qu'il puisse générer des revenus supplémentaires pour vous. C'est la seule façon que vous pouvez déplacer la dépendance de votre sueur pour votre cerveau.


    5. Fixez ce que vous avez déjà 
    La sécurité de ce que vous avez déjà est très important. Il faut donc toujours mettre une somme d'argent dans votre épargne et éviter d'investir l'ensemble de vos bénéfices. Cela vous laisse avec quelque chose à se replier quand les choses ne vont pas très bien.

    Une véritable stabilité financière ne peut être atteint quand on peut gagner de l'argent pendant que vous dormez. Cela signifie que vous aurez mis en place un système qui permet de broyer en mouvement, même sans votre présence, l'indépendance financière!

    Source : http://www.energika.org/devenir-financierement-a05519071.htm

    dimanche 20 octobre 2013

    Comment faire croitre son entreprise



    ETAPES A SUIVRE POUR FAIRE CROITRE SON ENTREPRISE.

    http://facilementvotre.blogspot.com
    Par  IIP Digital.
    Après avoir travaillé dur à rédiger un plan d'affaires, à trouver du financement, à embaucher des employés et à acheter l’inventaire, vous êtes enfin prêt à ouvrir vos portes. Que faire maintenant ? Les étapes suivantes vont vous mettre sur la voie de la réussite.
    Revoir son plan

    La première étape pour faire croître votre entreprise est de la comprendre, et le meilleur moyen de la comprendre est de revoir votre plan d'affaires. Quelle est la mission de votre entreprise ? Quelles sont ses valeurs fondamentales ? Quels sont ses objectifs à court et long termes ? Sont-ils cohérents avec la mission ? Pour réussir, la mission de votre entreprise doit guider sa croissance.

    Quelle est la position actuelle de votre entreprise financièrement et sur le marché ? Comment vos produits ou services diffèrent-ils des autres produits sur le marché ? Quelles sont vos marges de profit ou de perte ? Déclenchent-ils des problèmes de trésorerie ? Quels sont les cycles affichés par votre marché, et à quel type de croissance pouvez-vous vous attendre ? Existe-t-il des grandes tendances dans le comportement des clients ? Vous tenir au courant de votre genre d’entreprise et de son marché vous aidera à vous positionner pour le succès.
    Connaître la concurrence
    Identifiez les meilleures entreprises dans votre domaine. Qu’est-ce qui fait qu’elles excellent ? Comment votre entreprise se mesure-t-elle par rapport à elles ? En examinant les points forts des concurrents, vous pouvez repérer ce qui les distingue. Cherchez des façons d'intégrer leurs meilleures pratiques.
    Vous devriez aussi étudier les faiblesses des concurrents. Sont-ils en train d’ignorer des marchés ou de négliger les besoins des clients ? Identifiez des possibilités qu’ils n’ont pas prises en compte et profitez-en.
    Créer une culture positive
    Pour attirer à la fois les clients et les employés, cultivez une passion pour votre entreprise chez les autres. Par exemple, montrez que votre entreprise est un membre responsable de la communauté en faisant don de bénéfices à des associations caritatives ou en fabriquant des produits respectueux de l'environnement. Si votre entreprise s’est engagée à servir la communauté au-delà de la simple fourniture d'un produit ou service, vos clients et vos employés seront engagés vis-à-vis de votre entreprise. Assurez-vous simplement que votre agenda social soit bien compatible avec votre mission.
    Veillez sans cesse à vous entourer de gens talentueux et encouragez-les à innover. Demandez leur avis et mettez en œuvre leurs suggestions. Définissez des objectifs précis pour la croissance - non seulement pour toute l'entreprise, mais aussi pour les employés individuels. Cela fait augmenter la responsabilité, encourage les employés à développer leurs compétences, et met en avant la réussite individuelle. Établissez un calendrier régulier pour le suivi des progrès vers les objectifs généraux de votre entreprise et de chaque employé afin de veiller à que tout le monde reste sur la bonne voie. Et récompensez les réussites lorsque les objectifs sont atteints.
    Cultiver la fidélisation de la clientèle
    Vu que le client le plus facile de convaincre est celui que vous avez déjà, la prochaine étape pour faire croître votre entreprise est d'améliorer l'expérience du client.
    Traitez vos clients comme votre atout le plus important. Écoutez-les. S’ils font un achat en magasin ou par téléphone, demandez-leur d'évaluer leur expérience. Non seulement cela va-t-il fournir des avis précieux, mais le client sentira que vous êtes attentifs à ses besoins.
    Enfin, donnez aux clients des incitations à rester fidèles. Proposez des rabais, des produits gratuits ou des programmes de récompenses. Si vous êtes propriétaire d’un café, par exemple, donnez à vos clients une tasse de café gratuite toutes les dix tasses. Ce simple geste fera qu’ils continueront à revenir— et cela fera augmenter la probabilité qu'ils parleront de votre entreprise à leurs amis.
    Entretenir des relations d'affaires
    La croissance de votre entreprise a tout à voir avec l'entretien des relations. Être en bons termes avec vos fournisseurs rend plus facile l’obtention de conditions de paiement avantageuses. Vous pouvez demander des extensions, des délais plus courts ou des rabais sur les achats en vrac. Chacun de ces facteurs améliore le flux de trésorerie et libère du capital d'expansion. Des relations positives avec les fournisseurs peuvent également vous donner un accès interne aux informations sur le marché. Parlez à vos fournisseurs de votre produit ou gamme de services, discutez de l'industrie et des tendances du marché, et demandez où se trouvent les possibilités.
    Les relations avec les investisseurs sont essentielles également. Mettez en place des relations solides avec des sources de financement multiples, tels que les prêteurs, les investisseurs privés et les sociétés de capital-investissement. Rencontrez-les avant d'avoir besoin d'argent pour parler de votre mission, de vos objectifs et de votre calendrier. Demandez des conseils et tenez-les informés de vos progrès. Cela permet de construire une base de confiance sur laquelle vous pourrez vous appuyer le moment où votre entreprise aura besoin de capitaux pour se développer.
    Élargir ses horizons
    Une fois que vous avez construit des relations solides, envisagez d'élargir.
    Pouvez-vous ajouter un produit ou un service qui complète ce que vous proposez actuellement ? Sera-t-il attrayant pour les clients actuels ? Pouvez-vous utiliser les recettes et ressources actuelles pour le fabriquer ou le proposer ? Aurez-vous besoin de peu de capitaux sans grand risque financier ? Si la réponse est oui, l'expansion de vos produits ou services peut être la bonne démarche à prendre.
    S'il existe un segment de marché différent ou un besoin de client différent que vous pouvez aborder, explorer un nouveau créneau peut être votre chemin vers la croissance. Vous pouvez également élargir vos canaux de distribution avec un site Web, un nouvel emplacement ou une alliance avec une entreprise complémentaire.
    Gardez à l’esprit que l'expansion vous remet en mode de démarrage ; il est préférable de ne poursuivre qu'une seule occasion d'expansion à la fois. Veillez à bien tenir vos clients actuels informés de votre nouveau produit ou service tout en vous travaillant aussi à attirer de nouveaux clients.
    Sensibiliser
    Maintenant que vous avez tout mis en place, faites de la sensibilisation par le biais de promotions, de publicité et de réseautage.
    Avant de lancer une promotion ou publicité, définissez clairement vos objectifs. Est-ce que vous essayez de créer une meilleure sensibilisation de marque ou de stimuler les ventes trimestrielles ? Est-ce que vous vous concentrez sur les nouveaux clients ou sur ceux que vous avez déjà ? Quel est le meilleur moyen de les atteindre ? Répondre à ces questions peut vous aider à élaborer de meilleures promotions et à sélectionner les meilleurs médias et messages pour les publicités.
    Vous êtes le meilleur ambassadeur de votre entreprise, alors vous devriez essayer le réseautage - un moyen de sensibilisation à faible coût et à fort impact. Organisez ou assistez à des événements et devenez membre d’organisations de personnes à l'intérieur et à l'extérieur de votre industrie. Y a-t-il des gens dans votre communauté qui connaissent tout le monde, qui sont les premiers à tout savoir ou qui ont toujours le dernier gadget ? Entretenez des relations avec ces gens et parlez-leur de votre expansion dans un nouveau créneau. Mais faites attention de bien faire vos devoirs si vous voulez les impressionner avec votre expertise.
    Faire participer sa communauté
    Les médias sociaux offrent une variété d'outils pour vous aider à informer et à communiquer avec les clients existants et nouveaux. Pour étendre la portée de votre entreprise, cultivez des rapports avec votre communauté en ligne via les médias sociaux.
    Quels sont les réseaux sociaux les plus populaires auprès de votre public cible ? Proposent-ils un accès à des populations que vous n'aviez pas prises en compte auparavant ? Chaque plate-forme est différente ; familiarisez-vous avec leurs avantages et inconvénients avant de vous lancer.
    Enfin, souvenez-vous qu’avec les médias sociaux, il s’agit d’engager les clients dans une conversation au sujet de votre entreprise et de ses produits. Répondez aux messages et commentaires. N'ayez pas peur de la critique – prenez-la en compte et prenez des mesures pour y remédier. Impliquez les abonnés en posant des questions, en organisant des concours et en offrant des promotions exclusives. Par exemple, si vous êtes propriétaire d’un magasin de sandwichs, essayez de lancer un concours pour donner un nom à un nouvel élément sur le menu. Utilisez des images et des vidéos pour attirer un maximum d'attention, et n'oubliez pas d'inclure des liens vers votre site.
    Travailler de manière avisée
    Vous avez construit des relations solides avec vos employés, clients, fournisseurs, investisseurs et membres de la communauté. Utilisez ces liens pour augmenter les recettes. Faites appel à leur expertise pour rationaliser vos processus d'affaires. Encouragez les clients actuels à passer à un meilleur produit ou à acheter un produit complémentaire. Convainquez les partenaires commerciaux d'ajouter votre produit ou service à leur argumentaire de vente.
    Une autre façon de travailler de manière plus efficace consiste à adopter de nouvelles technologies. Parlez aux vendeurs et aux autres dans votre communauté pour savoir s’il existe des outils qui peuvent vous aider à rationaliser vos opérations. Par exemple, peut-être existe-t-il des logiciels pour vous aider à garder une trace de votre inventaire ou à suivre les habitudes d'achat des clients. Évaluez le coût de la nouvelle technologie en fonction du gain de productivité possible. Bien qu’il puisse être coûteux d’adopter de nouvelles technologies au début, cela peut porter ses fruits à long terme.



    Comment être un bon leader pour son entreprise

    COMMENT ETRE UN BON LEADER
    Par Mohamed Mouras.
    http://facilementvotre.blogspot.com

    1. Les objectifs. Rendez simple et facile, pour votre équipe, la compréhension de la mission ainsi que leur rôle dans sa réalisation.

    • Des objectifs concis. Faites-les simples et faciles à comprendre.
    • Concentrez votre équipe sur le minimum de buts possible.
    • Communiquer les objectifs de l’équipe souvent et par divers moyens (réunions, rencontres individuelles, courriels, affiches, slogans). Puis, faites-en même encore plus.
    • Suivre les progrès réalisés pour l’accomplissement des objectifs.
    • Impliquez les membres de l’équipe dans le suivi des objectifs afin qu’ils s’approprient les résultats.

    2. Motiver les gens. Ce que vous récompensez est fait. C’est aussi simple.

    • Incitez les membres de l’équipe à faire les tâches qui sont les plus critiques pour atteindre les objectifs principaux. Assurez-vous que les récompenses sont utiles et en valent la peine. Essayez de comprendre chacun des membres et ce qu’ils veulent vraiment de leur travail et de la vie en général. C’est ainsi que vous saurez comment les récompenser.
    • Louez, Remerciez, et Reconnaissez toutes les grandes et petites contributions de chacun. Faites-le souvent et puis faites-le encore.
    • Mettez en place des attentes élevées. Votre équipe évoluera en fonction des attentes que vous définirez. Mettez la barre haute et vous direz : «Je crois en votre capacité à faire de grandes choses! »
    • Responsabilisez les gens autour de vous en leur déléguant des responsabilités.
    • Célébrez les réussites de l’équipe souvent.
    • Encouragez le Fun. Faites de votre lieu de travail un endroit sympathique où il fait bon travailler. Oui, le travail doit se faire, mais les pauses fun et courtes peuvent faire toute la différence dans la culture de votre équipe.
    • La fierté. Favorisez un sentiment de fierté dans votre équipe. En tant qu’équipe, vous pouvez créer une mascotte, créez une sorte d’hymne d’équipe, et ayez une réunion axée uniquement sur les points forts de chacun et les points forts de l’ensemble de l’équipe.

    3. Transformez vos paroles en actions. Vous avez besoin de pratiquer ce que vous prêchez. C’est ainsi que vous établirez de la confiance et de crédibilité. 

    • Montrez l’exemple en participant aux tâches de l’équipe, autant que faire se peut.
    • Soyez honnête. Tenez vos promesses. Les actes sont plus éloquents que les paroles. C’est peut-être bête mais voyez la chose comme avec vos enfants. Vous savez que ces derniers ne vous écoutent pas, ils jugent vos actions.
    • Relevez des défis personnels. Faites de votre mieux (et même plus) tout comme vous demandez à votre équipe de faire de leur mieux.
    • Faites-vous mousser. Tout comme les membres de votre équipe ont parfois besoin de vous faire savoir ce qu’ils ont fait pour que vous puissiez les reconnaître et les féliciter. Ils doivent savoir, à leur tour, que vous avez travaillé et ce que vous avez accompli. Donc, trouver des moyens de communiquer cela et d’en faire un comportement à répéter de manière saine.
    • Restez Compétent. Vous devez être compétent pour inciter les autres à vous suivre. Si vous ne vous améliorez pas, vous serez à la traîne. Apprenez en continu et tenez-vous à jour au niveau des compétences, de la technologie et des connaissances dans votre domaine.

    4. Inspirez par la combinaison : 

    • d’une vision positive  et stable du futur
    • d’un engagement à améliorer les choses sur le chemin qui fera de cette même vision positive une réalité.
    • d’une habilitée à limiter les diverses composantes lorsque les ressources elles-mêmes sont limitées.

    5. Le pouvoir des process. Un bon process, c’est comme avoir en main une machine de haute performance. Les process négligés font que les choses se désagrègent. Assurez-vous donc d’établir des habitudes clés avec votre équipe. 

    • Établissez des routines. Effectuez cette opération pour l’équipe et aussi avec chaque individu afin d’établir  des routines de productivité élevée. Ce sont les routines qui dictent quel travail est effectué quand.
    • Établir des process pour toutes les tâches qui sont faites souvent. Il faut du temps pour les mettre en place au début, mais après cela s’avèrera payant du fait du gain de temps et de la diminution des erreurs. Les process décrivent comment le travail est fait mais aussi les systèmes requis pour faire le travail.
    • Assignation des tâches. Autant que possible, assigner des tâches selon les forces de chaque membre.

    6. Changez. Adoptez le changement en cherchant. Ce sera un leitmotiv  à suivre pour vos collaborateurs. 

    • Modifier les routines (process) tous les trois mois. Rechercher de meilleurs moyens d’atteindre les objectifs de l’équipe.
    • Prenez des risquesLes Leaders authentiques n’ont pas peur de l’échec. Personne ne parvient jamais à de grands accomplissements sans quelques échecs.
    • Apprenez. Apprenez des échecs en équipe. «Que pouvons-nous améliorer pour la prochaine fois? »
    • Encouragez les membres de l’équipe à prendre des risques en rendant sûr et même sain d’échouer. Concentrez-vous sur les enseignements tirés des expériences passées et en vous appuyant sur eux pour trouver de meilleures solutions.

    7. Plaidez. Supportez votre équipe et ils vous soutiendront en retour.

    • Promouvez les membres de votre équipe, en clair faites-leur savoir qu’ils peuvent compter sur vous. Assurez-vous que d’autres en dehors de votre équipe connaissent les réussites des membres de votre équipe. Vous souhaitez que les membres de l’équipe excellent de manière individuelle et même surpassent les résultats collectifs de l’équipe. Ces membres clés vous quitteront peut-être mais ne vous inquiétez pas. Si votre équipe est formidable, il s’en trouvera beaucoup d’autres qui souhaiteront la rejoindre! Ce renouvellement naturel des membres de l’équipe est comme le renouvellement des cellules de votre corps. Il est nécessaire et sain.
    • Faites la promotion de votre équipe. C’est votre travail de vendre les grandes réalisations de votre équipe afin d’obtenir les récompenses, la reconnaissance et les ressources que votre équipe mérite.
    • Luttez pour obtenir les ressources et les changements les plus importants qui profiteront à votre équipe et à votre organisation en général. N’oubliez cependant pas de choisir vos batailles avec sagesse.

    Comment améliorer sa productivité dans une entreprise


    MIEUX AMELIORER SA PRODUCTIVITE DANS UNE ENTREPRISE.
    Par  Hermann Cakpo.
    http://facilementvotre.blogspot.com



    Ceux qui atteignent des niveaux de productivité élevés n’ont rien d’extraordinaire. Mais ils ont su développer des habitudes simples qui leur permettent de réaliser en un an ce que la plupart des gens mettent 10 ans à réaliser. N'importe qui peut améliorer ainsi sa productivité en intégrant ou en renforçant les habitudes ci-après.

    1. L’habitude de mettre ses objectifs par écrit

    Il y a ceux qui ont une mémoire extraordinaire avec une capacité de concentration impressionnante sur leurs priorités. En général c’est qu’ils n’ont que peu de priorités et savent faire recours à cette technique extraordinaire qu’on appelle la procrastination créative pour éliminer autant de futilités pour se concentrer sur l’essentiel. Si vous êtes sûr de pouvoir utiliser la même technique et que vous avez les mêmes capacités, vous n’aurez pas besoin de mettre vos objectifs par écrit. Dans le cas contraire, il faudra développer l’habitude de mettre vos objectifs par écrit. Nous recevons trop d’information à traiter chaque jour et finalement il n’y a que ces documents portant la mention « Urgent » qui obtiennent le plus souvent notre attention. Alors, mettez vos objectifs par écrit avec la mention « Urgent » ou « A faire absolument » et il y aura de plus fortes chances que vous les lisiez et travailliez sur eux.

    2. L’habitude de savoir clairement le résultat à atteindre et la bonne chose à faire.

    Le fait de ne pas savoir clairement le résultat à atteindre, cet indicateur qui montrera que nous sommes entrain de faire la bonne chose, nous amène souvent à bien faire la mauvaise chose. L’habitude de savoir clairement le résultat à atteindre permet de regarder à chaque fois la référence et vérifier si ce que nous obtenons comme résultat et le rythme auquel nous l’obtenons correspond à la norme et à ce qui est attendu. Avec les tableaux de bord et toute la batterie d’outils de mesure et d’optimisation de la performance dont nous disposons maintenant, l’exercice est de plus de en plus facile ou devrait être plus facile. Mais cette évidence n’est que partielle. La plupart des vendeurs savent ce qui est attendu d’eux. Ils connaissent clairement les résultats à atteindre. Mais pourquoi sont-ils si peu nombreux à être performants ? Ils font bien la mauvaise chose. Ils sont très appliqués, déterminés et engagés à atteindre les objectifs attendus d’eux mais leur productivité s’en sort très faible parce qu’ils ne s’arrêtent pas pour identifier clairement le bon comportement à avoir et les bonnes méthodes à utiliser pour améliorer leurs performances. Ils essaient et essaient encore les méthodes qui ont peut-être très bonnes mais qui ont toujours montré leurs limites surtout face aux nouvelles exigences du marché et aux nouvelles attentes de leur hiérarchie.

    Les gens productifs procèdent autrement. Ils s’imprègnent des résultats à atteindre, cherchent des gens qui les ont atteints déjà, observent et étudient les méthodes que ces derniers utilisent, se les approprient et les utilisent pour obtenir du résultat. Les autres trouvent toutes les raisons de ne pas essayer ainsi de faire la bonne chose en évoquant la difficulté, l’inadéquation des méthodes ou les facilités dont les gens performants bénéficieraient…Ils tiennent plus à faire la bonne chose en vue d’obtenir le bon résultat que d’être « activistes ». Ils savent qu’il y a une différence fondamentale entre le « dynamisme » et la performance.

    3. L’habitude d’avoir un plan d’action avant de commencer

    Avec la succession des crises, il va (peut-être) de soi que nous ayons désormais plus de raisons de ne pas élaborer des plans que d’en élaborer. Effectivement, à quoi bon faire un plan alors qu’on ne sert même pas si on le réalisera et sachant que très de plans sont effectivement mis en œuvre ? Peu de mobiles. Mais l’habitude d’avoir un plan avant de commencer vous aide à savoir tout au moins par où vous allez commencer si les choses se passent tels que vous les avez anticipées ou si vous préférez d’avoir une liste de choses à faire suivant les différentes circonstances. Rien de fixe évidemment mais une liste de choses précises à faire en certaines circonstances. Cela donne plus d’orientation et aide à ne perdre aucune minute. Beaucoup trop de gens perdent du temps le matin et attendent le premier appel ou e-mail d’urgence pour véritablement démarrer leurs journées parce qu’ils ne l’ont pas planifiée par avance. Et même lorsqu’ils ont une liste de tâche, ils ne les ont pas hiérarchisées et commencent parfois par les tâches à basse priorité. Le fait d’avoir un plan à l’avance permet d’avoir une vue claire de ses priorités pour ne surtout pas s’en éloigner.

    4. L’habitude de relire ses objectifs et ses plans d’action

    C’est un exercice très simple et si ce n’est l’un des plus simples au monde. Mais il faut avouer que c’est en même temps enquiquinant que de devoir relire ses objectifs justement parce que vous pouvez  rapidement vous sentir coupable lorsque vous relisez vos objectifs avec les actions datées à engager et constatez malheureusement que vous n’avez rien fait, que vous n’avez pas du tout progressé.
    Pour éviter de tomber dans ce sentiment de culpabilité, beaucoup de gens préfèrent ne pas relire leurs objectifs et plans d’action, d’autres décident carrément de ne pas les mettre par écrit. Ceci peut être une bonne résolution. Mais ce qui se passe c’est qu’aussi longtemps que l’objectif qu’ils doivent écrire et relire ne devient pas urgent grâce à une crise, ils les perdent complètement de vue. En effet, lorsqu’un objectif n’est pas mis par écrit et relu avec la pleine conscience de la raison pour laquelle il doit être atteint, on le perd de vue. Lorsqu’un objectif est perdu de vue, le motif disparait avec lui et il n’y a plus aucune motivation à faire quelque chose pour l’atteindre. L’intérêt  à relire ses objectifs et ses plans d’action réside dans le fait que cette habitude vous permet de vous concentrer sur vos priorités parce que vous les avez à l’esprit, vous avez l’image claire de leur formulation et de leur réalisation (lecture avec les yeux) et le son clair de leur énoncé (lecture à haute voix) et l’émotion envahissante à l’idée de leur réalisation (le sentiment vécu à l’imagination et à l’énoncé de leur réalisation). Elle permet également d’évaluer la progression et de procéder aux réajustements et aux optimisations nécessaires.

    5. L’habitude de faire ce qui a été planifié et sans excuses

    Par minimalisme et surtout pour beaucoup d’autres raisons, nous recherchons de plus en plus à avoir des journées « soft ». Rien de plus normal. Si vous êtes adeptes du minimalisme, il restera toujours à votre emploi du temps un minimum de choses à faire. Lorsqu’elle est appliquée à ce minimum de choses à faire, l’habitude de faire ce qui a été planifié et sans excuses permet d’optimiser la valeur de ses journées et de se voir de progresser dans la réalisation de ses objectifs. Lorsque nous ne savons pas nous discipliner suffisamment pour faire ce minimum de choses à forte valeur ajoutée à faire, nous tombons rapidement dans la culpabilité d’être entrain de paresser, meublons/surchargeons nos journées de toutes ces tâches en retard, espérant optimiser ainsi notre journée. Une démarche souvent trop vaine. En effet il n’y a que la discipline - pour faire ce que nous devons faire que cela nous plaise ou non – pour nous aider à évoluer dans la progression de nos projets personnels et professionnel étape par étape, parcelle par parcelle avec la sérénité et la percussion que procure le fait d’avoir tenu ses promesses envers soi-même.

    6. L’habitude de faire chaque jour quelque chose

    Vous connaissez ces projets qui trainent ou qui ne bénéficient que d’une attention sporadique de notre part, des projets que nous espérons boucler à tout moment mais qui ne quittent jamais notre « liste de tâches à accomplir ». Nous les lorgnons à chaque fois mais nous ne faisons rien de concret pour les faire avancer. Le défi c’est que lorsque le moment de la crise (du retard constaté) arrive, nous sommes prêts à leur consacrer toutes les ressources dont nous pouvons disposés, nous sommes subitement prêts à travailler d’arrache-pied pour les finaliser au plus vite. Parfois, nous y arrivons avec brio mais au prix de tant d’autres projets négligés et reportés à leur tour. Lorsque les crises atteignent leur maturité et s’enchainent, nous devenons un vrai « manager de la 25è heure » perdant du coup notre rythme normal. 

    Il est possible de corriger le tir en appliquant la méthode des 60 minutes hebdomadaires ou en faisant chaque jour quelque chose par rapport à chacun de nos objectifs prioritaires. Prenez un objectif ou un projet que vous devez avoir réalisé avant la fin du trimestre. Sans pression, et avant même que le projet ou l’objectif ne devienne prioritaire ou urgent, décidez de consacrer 10 minutes par jour à collecter l’information, à échafauder vos plans, à les optimiser et à les relire, à identifier et à mobiliser les ressources, à engager des actions, à évaluer vos résultats. 10 minutes par jour du lundi au samedi soit 60 minutes par semaine. Utilisez la méthode des 60 minutes au premier quartier du délai. Vous pouvez monter en régime au deuxième quartier en doublant, triplant ou quadruplant et ainsi de suite le nombre de minutes consacrés à l’objectif ou au projet. Certaines personnes conservent le rythme de 10 minutes par jour sans jamais monter en régime et atteignent leurs objectifs dans les délais. Mais le plus important, c’est de faire chaque jour quelque chose pour atteindre chacun de ses objectifs.

     7. L’habitude de sauver sa journée

    Chaque jour est à notre disposition pour atteindre nos objectifs prioritaires dont vivre la joie de vivre, marquer notre passage et notre présence par  des empreintes d’excellence et de performance. Mais il arrive ces jours où nous cherchons désespérément le carburant pour faire démarrer notre « machine personnelle de production », des jours où elle est vraiment en panne. On en sort si désespéré que l’on a hâte de la terminer par quelques gorgées de Whisky et de s’embaumer de fumée de cigarette ou de faire quoi que ce soit d’autre pour l’oublier tout simplement le temps de retrouver  le jour suivant. Les gens très productifs vivent eux-aussi ces moments douloureux. Éventuellement, ils prennent quelques gorgées de vin ou de whisky ou fument ou font quoi que ce soit d’autres. 
    Mais quand ils ont fini de faire tout cela, ils se disent : « je n’irai pas me coucher sans avoir bouclé ce dossier ». Ils font tout pour racheter leur journée. Ils font tout pour la rendre utile ; ils marquent des points, ils cochent des indicateurs de résultats pour la journée. N’importe qui peut le faire, du moins, c’est l’une des méthodes efficaces pour améliorer sa productivité.

     8. L’habitude de faire aujourd’hui, mieux qu’hier

    La plupart des gens diminuent leur rythme de travail d’aujourd’hui parce qu’ils sont impressionnés eux-mêmes par ce qu’ils ont pu faire hier. Ne tombez dans ce piège. Soyez plutôt impressionnés par ce que vous avez pu être capable de faire - et qui n’est que la prémisse de ce que vous êtes encore plus capable de faire. Dites-vous : « Si j’ai pu le faire alors que je ne m’y attendais pas, cela veut dire que maintenant que je le sais, je suis encore capable d’aller encore plus loin. ». Mettez-vous au travail et battez chaque jour vos records des jours précédents. Comme le dit l’adage venu d’Orient, « il n’y a rien de noble à vouloir faire plus que quelqu’un. La vraie noblesse c’est de faire aujourd’hui mieux qu’hier ».




    Autour du même sujet


      Mieux dresser son chien



      Mieux dresser son chien
      http://facilementvotre.blogspot.com
      cela paraît a priori une tâche compliquée. Pourtant, bien éduquer son chien n’est pas si difficile, même si vous êtes novice en la matière.
      Nul besoin de faire de votre chien un animal de cirque :une bonne éducation vous rendra, vous et votre un compagnon, encore plus heureux et complices.

      Asseyez votre autorité face à votre chien 


      Vous devez être le dominant ! Voici l’une des règles de base en matière de dressage canin. S’il ne vous respecte pas, votre chien ne vous écoutera pas. Pour ce faire, inutile d’être violent.
      Passer devant son chien lorsque l’on quitte une pièce, manger avant lui ou le repousser de temps en temps lorsqu’il est en demande sont autant de petits trucs qui feront comprendre à votre compagnon que vous êtes le chef de la meute, pas lui.

      Faire obéir son chien :


      Avant d’apprendre à votre chien à répondre vos ordres, vous aurez certainement l’occasion de l’emmener faire des promenades. C’est une bonne occasion pour vous faire respecter et lui enseigner l’indispensable : marcher en laisse.
      Votre chien doit toujours marcher à vos côtés. Hors de question qu’il tire sur la laisse pour aller plus vite ! Pour l’habituer à ne pas vous dépasser, tirez par petits à-coups sur la laisse du chien s’il avance trop vite.
      Pour sa sécurité, votre chien doit vous comprendre et obéir aux ordres. Une fois encore, nul besoin d’être dur avec l’animal.
      Choisissez des ordres simples tels que « Viens Médor », « Médor, Stop », « Couché Médor », « Au panier Médor » etc.
      Pour éduquer le chien, il est indispensable de lui montrer ce que vous attendez de lui, et ce, avec enthousiasme. Si vous souhaitez qu’il s’assoie, donnez lui l’ordre puis appuyez sur son arrière train afin qu’il s’exécute. Recommencez l’exercice plusieurs fois mais ménagez le chien, surtout si c’est encore un chiot.
      Ne soyez pas avare en récompenses. Pour que votre chien comprenne qu’il a bien fait, caressez le ou félicitez le vivement.

      Gronder son chien

      En tant que maître, il vous faut apprendre à réprimander votre chien. Cela doit être rare, réalisé à bon escient et toujours sans violence. En effet, un chien ne vous comprendra pas plus si vous le frappez ou criez. Au contraire, il aura moins confiance en vous.
      Lorsqu’il fait une bêtise, dites fermement « Non ». Pour un chiot, vous pouvez dans le même temps le soulever avec tact par la peau du coup.
      Sachez enfin que dresser son chien nécessite beaucoup de patience et de compréhension de la part du maître. Les chiens ont tous un caractère très différent, certains seront plus réceptifs que d’autres.
      Si jamais vous avez du mal à faire entendre raison à votre animal, n’hésitez pas à faire appel à unvétérinaire, un comportementaliste ou bien un dresseur canin.